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Dans la tribu d'Homo sapiens, les membres disparaissent les uns après les autres. Un homme de Néandertal qui est nommé L'homme-qui-dessine, est accusé. Il a sept nuits pour prouver son innocence.

La 4e de couverture indique : "Matthieu Fabas a tué parce qu¹il voulait prouver qu¹il était un homme. Un meurtre inutile, juste pour que son père arrête de le traiter comme un moins que rien. Verdict, 15 ans de prison. Le lendemain de sa libération, c¹est le père de Matthieu qui est assassiné et le coupable semble tout désigné. Mais pourquoi Matthieu sacrifierait-il une nouvelle fois sa vie ? Pour l¹inspecteur Cérisol chargé de l¹enquête et pour ses hommes, cela ne colle pas. Reste à plonger dans l¹histoire de ces deux hommes, père et fils, pour comprendre leur terrible relation. Derrière cette intrigue policière qu¹on ne lâche pas, ce nouveau roman de Benoît Séverac nous parle des sommes de courage et de défis, de renoncements et de non-dits qui unissent un père et un fils cherchant tous deux à savoir ce que c¹est qu¹être un homme."

Arthur est en voiture lorsqu'il assiste à l'agression d'un garçon de son âge, à un feu rouge. Poussé par son instinct, il va à sa rencontre. Ce garçon, c'est Adnan, un réfugié syrien. Il vit dans une caravane au milieu d'un terrain vague avec sa mère, qui lui a appris à garder la tête haute en toute situation. Entre Arthur et Adnan va naître une amitié qui résistera à l'incompréhension des adultes. Une amitié qui poussera les parents d'Arthur à aider, eux aussi, Adnan et sa mère. Une amitié qui va tous les faire basculer dans une aventure digne d'un roman d'espionnage...

Arthur fait la rencontre d'Adnan, un réfugié syrien de son âge qui vit avec sa mère dans une caravane. Les deux garçons deviennent amis et, bientôt, la famille d'Arthur propose d'aider Adnan et sa mère. Electre 2018